samedi 28 mai 2011

DES ÊTRES SE RENCONTRENT ET UNE DOUCE IDEE DE LA NOVATIQUE S’ÉLÈVE DANS LEUR CŒUR






















Anne-Catherine Caron lors de son intervention dans le cadre du séminaire ALLA KUNGENS HÄSTAR : LETTRISMEN IDAG ? au Modern Museet de Stockholm le 24 mai 2011.

Une civilisation policée, à la fois très post-industrielle et très historique de cette période qui permit de formidables avancées pour les sociétés du monde occidental.
Des associations à la Ibsen ou à la Stringberg, celles des tourments et les déchirements de ces autres grands nordiques voisins.
Un bout du monde et un en-soi à la Virginia Woolf où l’enfer comme le paradis pourraient se nicher au gré des archipels ressemblant aux lambeaux de la civilisation flamboyante des inventions.
Un peu d'un Palais de glace plus lointain.
Un monde polaire de la fin des terres et du monde que charrient la Baltique comme le lac Mälar et un Moderna Museet accueillant avec beaucoup de bois et de contenu.
Une équipe de jeunes gens brillants et d’avant-garde pour accueillir un séminaire sur le Lettrisme aujourd’hui et évoquer les externités qui se soulèvent en ce moment sur la planète, le continent noir décrit par Freud qui se manifeste aussi comme la moitié éclairée de ce ciel bas et infini que l’on entrevoit aux horizons nouveaux de ces contrées proches et lointaines à la fois.
Enfin, quelque chose qui, comme Isou l’a écrit le 30 décembre 2002, en conclusion de ses textes sur le Lettrisme au-delà de la féminitude (Ed. Zero Gravità, 2008) devrait « évoluer, dans le sens inverse, en remontant jusqu’à l’explosion première du big bang de George Anthony Gamow, au-delà des morts, en créant pour nos successeurs les œuvres, servant d’échelons, pour arriver à la Société Paradisiaque. » (A.-C.C., Stockholm, hôtel Skeppsholmen dans la soirée du mardi 24 mai, Extraits de mon journal à cette même date).

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